Bien qu'il ait étudié la peinture pendant douze ans, il préfère dessiner sa satire avec le simple trait d'un marqueur ou d'un morceau de craie. Dan Perjovschi s'inspire d'articles ou de reportages et, par conséquent, toutes ses œuvres sont des observations humoristiques mais amères de la réalité. L'artiste post-communiste et post-moderniste est né la même année que la construction du mur de Berlin, et pour reprendre les mots de Perjovschi, il est né « du mauvais côté de celui-ci ».
« I think I get more, without knowing, from artists I have never met (Saul Steinberg) or from cultures I have never experienced. »
Dan Perjovschi
&Agra
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Bien qu'il ait étudié la peinture pendant douze ans, il préfère dessiner sa satire avec le simple trait d'un marqueur ou d'un morceau de craie. Dan Perjovschi s'inspire d'articles ou de reportages et, par conséquent, toutes ses œuvres sont des observations humoristiques mais amères de la réalité. L'artiste post-communiste et post-moderniste est né la même année que la construction du mur de Berlin, et pour reprendre les mots de Perjovschi, il est né « du mauvais côté de celui-ci ».
« I think I get more, without knowing, from artists I have never met (Saul Steinberg) or from cultures I have never experienced. »
Dan Perjovschi
À l'époque communiste, sa liberté d'expression artistique était limitée à des dessins à deux interprétations – l'une pour le gouvernement, l'autre pour son commentaire politique. Alors que l'autre côté du mur de Berlin était jonché de
graffitis, il dessinait sur les murs de son propre appartement, confiné. C'est cette contrainte de sa jeunesse qui le motive à être politiquement actif. Comme il le dit, « je n'oublierai jamais que 1 000 personnes sont mortes, alors je peux parler maintenant ». (
Artist website)
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