Il est surtout connu pour son choix de médium, utilisant des peintures industrielles à haute brillance dans ses œuvres et pour les objets de tous les jours qu'il peint avec elles. Au cours des années 90, Gary Hume a changé de support et d'orientation et a commencé à utiliser des peintures domestiques brillantes au lieu de peintures industrielles et à utiliser des feuilles d'aluminium pour ses toiles.
« A painting should be tough; it should have muscle, but I have to find some tenderness in it, too. There has to be that dynamic. »
Gary Hume
Parmi les premières grandes expositions de Gary Hume, citons « Freeze » (1988), organisée par
Damien Hirst, un ancien &eacut
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Il est surtout connu pour son choix de médium, utilisant des peintures industrielles à haute brillance dans ses œuvres et pour les objets de tous les jours qu'il peint avec elles. Au cours des années 90, Gary Hume a changé de support et d'orientation et a commencé à utiliser des peintures domestiques brillantes au lieu de peintures industrielles et à utiliser des feuilles d'aluminium pour ses toiles.
« A painting should be tough; it should have muscle, but I have to find some tenderness in it, too. There has to be that dynamic. »
Gary Hume
Parmi les premières grandes expositions de Gary Hume, citons « Freeze » (1988), organisée par
Damien Hirst, un ancien élève de Goldsmith, et « East Country Yard » en 1990. Gary Hume semble avoir trouvé sa niche en trouvant un sens à la redondance, à l'ordinaire, à notre vie quotidienne normale. Lors d'une interview en juin 2013, Hume décrit son choix d'utiliser des peintures de haute qualité et très brillantes pour des sujets aussi peu passionnants, en disant : « [les objets quotidiens] sont ordinaires et j'aime prendre des choses banales et les rendre belles ».
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