C'est précisément ce que fait son installation de 2014 dans Central Park, Clouds. Les nuages d'aluminium bleu vif, à 35 pieds au-dessus du sol, ont ajouté une touche de couleur au parc, éclairant à la fois les jours et les vies.
« Well, I would like to be perfect, but I think art shows me that whatever technology I use, my personality pushes through and there we are... something is not perfect. I like that.
We are finally human. »
Olaf Breuning
L'œuvre de Breuning s'inspire de la culture pop, prenant la légèreté et l'humour que l'on trouve souvent dans les films et les émissions de télévision culturellement emblématiques pour juxtaposer des ques
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C'est précisément ce que fait son installation de 2014 dans Central Park, Clouds. Les nuages d'aluminium bleu vif, à 35 pieds au-dessus du sol, ont ajouté une touche de couleur au parc, éclairant à la fois les jours et les vies.
« Well, I would like to be perfect, but I think art shows me that whatever technology I use, my personality pushes through and there we are... something is not perfect. I like that.
We are finally human. »
Olaf Breuning
L'œuvre de Breuning s'inspire de la culture pop, prenant la légèreté et l'humour que l'on trouve souvent dans les films et les émissions de télévision culturellement emblématiques pour juxtaposer des questions et des problèmes plus importants et plus profondément enracinés. Par exemple, dans la série de photographies couleur de 2011, The Art Freaks, Browning peint les corps de modèles nus dans des styles symbolisant des artistes influents du XXe siècle tels que
Francis Bacon et
On Kawara. Ce questionnement sur de supposés chefs-d'œuvre et notre expérience contrôlée de ceux-ci est un thème que Breuning aborde fréquemment, soulevant des questions quant à notre relation avec l'art, la culture pop et l'internet.
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